Les bouteilles en plastique sont devenues synonymes de praticité. La plupart d'entre nous en avons utilisé une cette semaine. En une seule génération, la bouteille en plastique est passée du statut de contenant miracle à celui de réflexe quotidien, notamment avec la modernisation des marchés en pleine expansion et la promotion de l'eau en bouteille comme choix « sûr » ou « facile ». L'ampleur du phénomène est désormais indéniable : environ un million de bouteilles de boissons en plastique sont achetées chaque minute dans le monde, un chiffre popularisé par les données d'Euromonitor et largement relayé par les grands médias. ( The Guardian )
C’est le système dans son ensemble qui est en jeu, et non un simple contenant. La production mondiale de plastique a quasiment doublé depuis 2000 , pourtant son cycle de vie est loin d’être circulaire. Après les pertes dans la chaîne de recyclage, seulement 9 % environ des déchets plastiques sont effectivement recyclés ; le reste est incinéré, enfoui ou pollue l’environnement. Il ne s’agit pas d’un problème de tri sélectif, mais d’un déséquilibre structurel entre l’augmentation des volumes et la capacité limitée de traitement en fin de vie. ( OCDE )
Qu’en est-il de la santé et des océans ? Les preuves continuent d’affluer. L’étude de l’OMS sur les microplastiques dans l’eau potable a appelé à la collecte de données plus fiables, tout en soulignant la priorité accordée à la gestion responsable des systèmes d’approvisionnement en eau. En 2024, des chercheurs des universités Columbia et Rutgers ont utilisé l’imagerie avancée et détecté des centaines de milliers de nanoparticules de plastique par litre dans plusieurs eaux en bouteille, renforçant ainsi l’argument en faveur de la prévention et de la transparence, malgré l’évolution des connaissances en toxicologie. Parallèlement, le PNUE estime que 19 à 23 millions de tonnes de déchets plastiques se déversent chaque année dans les écosystèmes aquatiques – rivières, lacs et mers – nous rappelant que ce que nous achetons et jetons ne reste pas sur place. ( Organisation mondiale de la santé ) ![Un camion transportant des bouteilles en plastique usagées circule sur une autoroute brumeuse à Pékin (Crédit : LIU... [+] JIN/AFP/Getty Images)](https://imageio.forbes.com/specials-images/imageserve/134866457/960x0.jpg?format=jpg&width=1440)
Alors, qu'est-ce qui change vraiment la donne ? Pas un « meilleur plastique », mais l'abandon des produits à usage unique au quotidien . La voie crédible consiste à : (1) prévenir l'utilisation des bouteilles grâce à des points de remplissage et à la diffusion de données sur la qualité de l'eau ; (2) rendre la réutilisation plus attrayante grâce à une expérience utilisateur positive : des bouteilles légères, étanches et faciles à nettoyer, avec un système de filtration qui résout les problèmes de goût et de contexte ; et (3) réserver l'eau en bouteille aux situations d'urgence , tout en améliorant le système de consigne et la collecte là où l'utilisation unique reste inévitable. Sans s'attaquer aux volumes en amont, les solutions en aval ne pourront pas suivre le rythme — les prévisions de l'OCDE sont sans équivoque sur ce point. ( OCDE )
La position de NOMAD. Notre mission n'est pas de défendre le plastique, mais de rendre le remplissage évident . Cela passe par une bouteille résistante et agréable à transporter, dotée du système de filtration SafeSip™ aux spécifications claires et validées par des organismes indépendants. Ainsi, au quotidien, le choix de remplir sa bouteille à la maison, à l'école, à la salle de sport et dans les transports devient une évidence. Offrons aux utilisateurs une filtration performante et une bouteille qu'ils apprécient vraiment. Cette solution ne remplace ni les politiques publiques ni les infrastructures existantes, et ne supprime pas le rôle de l'eau en bouteille en cas d'urgence. Mais au quotidien , c'est un levier immédiat et facilement déployable pour réduire la consommation d'eau à usage unique et améliorer le bien-être général.




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Comment SafeSip de NOMAD façonne l'avenir